Les inclassables textes...mon coin...

En voilà encore un ^^
"L'espoir fait vivre".

C'est une petite phrase bien connue, mais pourquoi l'espoir ferait-il vivre ?

Tous les jours, nous vivons avec nos rêves. De petits rêves, de grands rêves, un peu de tout et n'importe quoi...
Ce sont eux qui nous permettent d'avancer, on veut les réaliser, on a l'espoir qu'en les réalisant on sera un peu plus heureux...
Mais il arrive que l'on comprenne que l'on ne pourra pas y arriver. Il peut aussi arriver qu'au bout d'un moment, on soit à court de rêve...et là...c'est comme si il n'y avait plus rien de positif à vivre dans l'avenir...plus envie de vivre...
C'est ça, aussi, que veut dire cette phrase, "l'espoir fait vivre..."

"Donne-moi des rêves pour vivre, sinon du poison pour mourir..."



De retour pour une autre pensée issue tout droit de mon cerveau un peu malmené en ce moment...


Les gens autour de moi...
Ils aiment critiquer les autres, pour avoir quelque chose à dire.
Les filles, elles aiment, et puis elles pleurent après, parce qu'elles ont trop rêvé.
Y a ceux qui nous roulent chaque jour un peu plus dans la farine
Parce qu'à vouloir changer le monde sans y arriver, on se change nous même, on veut être bon
Et faire confiance,
Et on se retrouve à souffrir, parce qu'on a juste été la poubelle de tous ces gens qui n'ont fait que se servir de nous.
Mais...
Il y a ceux qui sont tristes, qui sont beaux dans leur douleur, parce que trop intelligents, ils ne veulent pas faire comme tous ces gens qui sèment le malheur. Alors faute d'abuser des autre, c'est eux les abusés.
Y a ceux qui sourient tout le temps, qui sont capables de vous mettre tous les jours de bonne humeur, qui voient toujours le bon côté des choses, parce qu'eux, ne veulent pas céder la place aux larmes, mais qui au fond, à force d'être trop bons, à force de ne pas se confier quant eux sont triste, parce qu'ils ne peuvent se le permettre, à force de laisser tant de gens se reposer sur eux, ça fait mal. Et ils craquent, parfois, et c'est dur pour tout le monde.
Pour tout ce petit monde qui voudrait bien être heureux sans avoir à faire du mal pour cela.
Et puis, il y a ceux qui se débattent, alternant entre ces deux masques, et qui, quand ils n'y arrivent plus, laissent tomber, revêtent le masque de la plupart des gens, et font mal, mal, blessent, pour se sentir vivants, et pour ne pas souffrir, pour qu'on les laisse un peu en paix...

Et tout ça n'est qu'un fragment du Monde, c'est un petit malheur, bien futile, comparé aux horreurs visibles un peu plus profond et un peu plus loin...
Après tout, tous ces gens tristes dont je vous parlent, ne mangent-ils pas à leur faim, ne sont ils pas logés et éduqués ? Alors, pourquoi être triste ?
Pourquoi, pourquoi, pourquoi toujours, faut il se battre pour se sentir heureux ?

Tu retranscris bien la triste vérité... Même si, bien que je pense avoir saisi, je doute d'avoir bien compris... Tu en as d'autres ?

Euh, woui...Sinon, t'en fais pas si t'es pas sûr d'avoir compris, c'est pas toujours très clair ce que je dis..Sinon, en voilà un, c'est une pitite description d'après une image que j'avais vue...(ça se voit pas, comme ça, mais ça parle d'un musicien...tralala...)

Osaka Hospital

Deux yeux ternes accrochent le regard.
Figés, privés de l'étincelle qui les habite d'ordinaire.
Tu sembles en train de mourir, tu as le regard de ceux qui voient leur fin approcher, mais que regardes-tu ?
Un cri semble accroché entre tes lèvres entrouvertes,
Mais il ne se libère pas, comme une bulle d'air qui s'accroche aux aspérités d'un récif.
Ton corps est tordu, posé là, tu n'en as même plus le contrôle , le seul vestige qui en reste, c'est cette main posée sur ton ventre, pour apaiser la douleur.
Cette main, c'est la seule chose qui s'accroche à te faire survivre, c'est elle qui apaise, ne serait-ce qu'un peu, ta douleur. Le reste de ton corps, ne te sert à rien, il est inerte.
Tes cheveux blonds, que tu avais coiffés pour te montrer tout à l'heure, tombent autour de ta tête, ton corps est habillé comme n'importe quel autre jour, tu étais prêt à jouer ce soir.
Cette vision sordide d'une journée qui n'a pu s'achever comme prévu, a l'arrière-goût d'un jour gâché.

Et ben dis donc, il est à plaindre..

Woui lol...merci de lire mes textes, n'empêche ^^
Pas d'autres pour le moment ^^

Attention, j'ai écrit ça en écoutant "Le Drapeau"de Mano Solo, donc peut être j'ai piqué deux trois mots sans faire gaffe...

Le Navire, l'Epave

...J'ai t'ai vue à travers mon brouillard...
...Nous voguions tous deux comme deux navires !
...Le monde était notre océan !
...Mais je coulais, ma coque prenait l'eau
...Et déjà, l'on ne voyait plus que mon drapeau noir...
...Mais tu m'a vue !
...Dans la nuit froide, tu as repêché mon épave !
...Et j'ai vu dans le noir, ton pavillon qui claquait au vent !
...Tu es si jolie !
...Tu m'as retapé, ensemble, nous reconstruisons mon navire...
...J'espère qu'un jour, je pourrai naviguer, toutes voiles au vent
...Et être si fière et belle que toi !
...Alors, nous partirons...sur la mer nous glisserons
...Jusqu'à ce que l'une ou l'autre meure et coule !
...Alors, il faudra continuer seul...jusqu'à se perdre encore
...Au fond des eaux...

Visiblement, ça vous laisse perplexes... T_T *part se pendre*